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2019 mars

Le 26 mars 2019, c’est la journée LAVANDE!


 

Le 26 mars prochain, la population est invitée à se faire ambassadeur pour la cause de l’épilepsie en portant des vêtements de couleur lavande ou des items promotionnels tels que le ruban et le bracelet de la Journée Lavande, ainsi qu’en parlant de ce trouble neurologique auprès de personnes de leur entourage.

L’objectif est de sensibiliser la population et de briser les mythes qui entourent l’épilepsie, une condition qui affecte approximativement 1 % de la population canadienne, soit près de 300 000 personnes. Car l’épilepsie demeure un sujet sensible pour beaucoup de gens. Plusieurs personnes épileptiques hésitent d’ailleurs à dévoiler leur condition de peur d’être jugées, rejetées ou incomprises.

 
 

D’où l’importance d’accroître les activités de sensibilisation car :

  • L’épilepsie est une condition qui touche environ 300 000 Canadiens, dont 45 000 Québécois, selon l’Association québécoise de l’épilepsie. Pourtant, «on n’en entend jamais parler»,
  • L’épilepsie n’est pas une «maladie», mais plutôt une condition neurologique, caractérisée par de brefs et soudains changements du fonctionnement cérébral qui entraînent des «crises».
  • On parle d’épilepsie en présence de crises répétées.
  • On estime que c’est une condition qui touche 1% de la population canadienne, soit environ 300 000 personnes, mais selon l’Association québécoise de l’épilepsie, ce nombre pourrait être beaucoup plus élevé. C’est qu’en raison des préjugés liés à cette condition, beaucoup de personnes épileptiques ont de la difficulté à admettre leur condition.
  • L’épilepsie se développe dans 60 % des cas chez les enfants en bas âge ou les personnes âgées.
  • On ne peut pas «guérir» de l’épilepsie, mais la médication peut aider plusieurs personnes à réduire, voire éliminer les crises. Toutefois, pour 30% des personnes épileptiques, la médication n’a pas ou peu d’effets.
  • Il faut qu’il y ait beaucoup plus de ressources pour aider les personnes atteintes et voir à ce qu’elles conservent leur autonomie, c’est-à-dire sans que cela ne nécessite de la surveillance par un proche et il doit y avoir plus de recherches sur l’épilepsie.